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 FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ?

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Flynn-Wilson Rosebury

Flynn-Wilson Rosebury

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MessageSujet: FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ?   FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? EmptyVen 5 Aoû - 22:46






- ROSEBURY, FLYNN-WILSON -

« "I'm here for you" she said, and we can stay for awhile, my boyfriend's gone, we can just pretend. Lips that need no introduction, now who's the greater sin, your drab eyes seem to invite, (tell me darling) where do we begin.? Was this over before, before it ever began. Your kiss, your calls, your crutch, like the devils got your hand. This was over before, before it ever began, your lips, your lies, your lust, like the devils in your hands. »

TRAITS DE CARACTERES DE VOTRE PERSONNAGE: solitaire ; indépendant ; froid ; étrange ; drôle ; attachant ; calme ; tolérant ; volontaire ; patient ; pessimiste ; franc ; confiant ; perfectionniste ; observateur ; égoïste.
NOM(S): rosebury. prénom que beaucoup d'anglais possèdent. PRENOM(S): flynn-wilson. des parents un peu bizarres. AGE et DATE DE NAISSANCE: né le dix janvier mille neuf cent quatre-vingt-neuf, et donc âgé de vingt-deux ans. ORIGINAIRE DE: bristol, en angleterre. STATUT: en couple. si on peut appeler ça comme ça. METIER ou ETUDES: serveur. LOISIR: reluquer le cul des belles nanas. GROUPE: love the way you lie.
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LIFE IS GREAT



chapitre un.


La vie peut être belle, cruelle. On peut tenir à la vie, ou bien encore la rejeter. On peut donner la vie. Ce n'est clairement pas donné à tout le monde. Quand vous donnez naissance alors que vous n'êtes âgé que de seulement seize ans, que ressentez-vous ? Imaginez un peu. Vous allez faire un enfant, alors que c'est, justement, ce que vous êtes. Les parents de ce petit bébé sont en quelques sortes des privilégiés. Ils font partis du cercle très fermé de la grossesse à l'adolescence. Pas sur qu'ils eurent, un jour, l'idée et surtout l'envie d'y entrer. Un vrai épisode de Skins. Le pire dans tout ça, c'est que la ville est la même. Bon certes, la série n'avait pas encore commencée lorsque ce personnage haut en couleurs avait été mis au monde, mais c'était à méditer. Bristol. Le soleil n'était pas là, ce jour là. Ce n'était même pas un jour, il était plutôt quatre heures du matin et la lune avait montré le bout de son nez depuis un moment déjà. Tous les jeunes étaient de sorties, et Flynn, puisque c'est ainsi qu'il est nommé, n'échappait pas à la règle. Seize ans étaient passés depuis sa naissance, et son enfance avait été, tantôt calme, tantôt agitée. Un peu comme celle de chaque enfant. Mais il n'était pas comme les autres, non. Il était différent. Et la différence a du bon, pas vrai ? Si les jeunes allaient en boite, lui, il allait... autre part. Dans un endroit que très peu de personne connaissait. La solitude, m'voyez. Il faut dire qu'il n'avait jamais eu d'amis, de personnes sur qui compter. À part ses parents, non, personne. C'est donc les pieds claquant légèrement au sol qu'il s'avançait, petit à petit, vers ce lieu. Cette maison, au bout de la rue. Cette maison qu'ils 'redoutaient' tous. Une maison hantée. Peut-être. Ou peut-être pas. Il s'empressa d'entrer, retrouvant trois ou quatre personnes - à tout casser - qu'il retrouvait environ chaque semaines, depuis des mois, et des mois, et des mois, à n'en plus les compter. « J'espère que vous avez ce qu'il faut. » Après avoir posé le regard sur diverses choses que ses - rares - amis avaient apporté, il déviait très rapidement sur les personnes elles-mêmes. Oui, il y avait tout ce qu'il fallait. Et il y avait elle. Chloé. Le genre de beauté inc arnée, dont il est quasi-impossible de dévier le regard. Il était amoureux d'elle. Secrètement bien sur. Pensez-bien. Il n'était pas timide, oh là non, mais il n'était pas non plus le premier à montrer ses sentiments. Un peu une sorte... de lâcheter; qu'est d'avouer ses sentiments. Le cerveau d'un fou, oui. « Dis, toi... Tu pourrais éviter de mater les nichons de ma soeur, steuplait ? C'est pas que ça me dérange mais... En fait si, ça me dérange. Pervers ! » Et il y avait... elle. Carrie. Inintéressante. Queen Bee en mousse, le monde devait tourner autour d'elle pour qu'elle puisse vivre. Ce n'était pas ses douze ans qui allaient lui faire peur. Ah non pardon, dix-sept, mais vu la taille des seins, on s'y tromperait. Il s'assit donc, les toise tous du regard quand un silence de.. mort, s'est installé. « Carrie ! Qu'est-ce qui te prend ! » répliquait la jeune femme, d'un an la cadette, légèrement agacée par la situation. « Oh ça y est, miss paté de foi débarque. » « C'EST TA MÈRE LE PÂTÉ DE FOI ! CONNARD ! » Des cris, des rires... En moins de cinq minutes, la situation s'était envenimée. Pour rien, encore une fois. La plus jeune attrapa le bras de sa soeur, enragée - pour si peu ! - et quittèrent la maison. Ils n'avaient pas touché à l'alcool. Personne ne parlait. Et les chances que Chloé lui reparle un jour étaient minces.


chapitre deux.


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Dernière édition par Flynn-Wilson Rosebury le Dim 14 Aoû - 20:19, édité 22 fois
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Flynn-Wilson Rosebury

Flynn-Wilson Rosebury

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MessageSujet: Re: FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ?   FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? EmptyVen 5 Aoû - 22:47


chapitre trois.
J. Mona Gauthier a écrit:
« J’me casse » répondit-elle simplement à sa mère, son sac à main sur l’épaule, deux valises à tirer en main et un autre sac trônant sur l‘une des valises. Chargée comme jamais. Pxtain, ca commence déjà à me gaver. Sans attendre plus longtemps, la belle claqua la porte sans un regard en arrière. Mona pris ensuite un taxi jusque l’aéroport, s’installant sur la banquette arrière, la demoiselle se retint de ne pas faire de réflexions sur la façon de conduire du chauffeur. Si elle avait su. La belle se pencha sur un côté pour voir par le pare-brise pourquoi la voiture devant eux s’était arrêtée. Mona soupira agacée, intimant sa grande gueule au silence. Un, deux, trois… zen…quatre, cinq… ok ! Là s’en est trop ! La demoiselle se détacha et se leva brusquement avant d’appuyer avec violence sur le klaxon puis hurler par la fenêtre. « BON TU L’AS BOUGE TA CAISSE ! » C’était si difficile connard. Et se rassit comme si de rien n’était. Quelques secondes -à peine- plus tard, elle afficha un sourire. « La route est à vous » s’adressa-t-elle au chauffeur. Arrivant, à l’aéroport, elle prit ses bagages après avoir payé le veille homme et entra dans le hall. Devant l’immense affichage numérique, elle se vit contrainte de sortir ses billets en guise du numéro du vol, c’est alors qu’elle aperçut… Zombie Boy. Ok, mauvaise blague, mais ce n’était pas loin. Un grand gars tatoué -la raison notamment pour laquelle, il avait attiré son attention- et une expression fermée. C'est quoi ce mec. Intriguée, Mona ne se gêna absolument pas de le dévisager, un moment, très long même jusqu’à ce que l’intéressé ne se retourne par la magie du saint esprit et que leur regard ne se croise. Loin de détourner le visage ou de se sentir embarrassée, Mona continua de le dévisager avec cette même intensité, sans même ciller.
Pauvre réalité. Petit bonhomme dans un aéroport bondé, cherchant désespérément des visages qu'il connaissait. Aucunes chances, il était seul, tout le monde lui était inconnu. Perdu dans ses songes, il bouge, s'avance, recule, pousse involontairement des personnes, ses yeux remplis de questions, d'inquiétude, le tout rempli d'une petite dose de tristesse. Rechercher son père à des milliers de kilomètres de son domicile, ce n'était pas facile, il fallait qu'il soit fort. C'était bien ce qu'il comptait faire. Trouver son père. Le retrouver. Père génial c'était peu à peu transformer en père indigne, laissant trois gosses à une mère sans emploi. Cherchez l'erreur. Quoi qu'il en soit, il avait besoin de vivre sa vie, de partir loin de son foyer, de se changer l'esprit. Et d'en foutre une bonne dans la gueule à son paternel. Enfin, s'il pouvait toujours le nommer ainsi. « Putain putain putain.. » Qu'allait-il découvrir là-bas ? Les Américains allaient-ils être des simples stupides comme tout le monde le disait ? Il tourne sur lui-même, observant les gens, la mère de famille qui crie sur son enfant, le type qui embrasse sa nana juste devant lui ou encore la petite rousse qui venait de trébucher, là bas, au fond. C'en était presque embarrassant. Pire : c'était totalement la honte. Enfin soit. Il fallait qu'il se bouge, rester sept cent milles ans à l'entrée n'allait rien changé et au final il aurait pu louper son vol. Son regard balaye le lieu, une brune qui l'observe fixement. Il arque un sourcil. Elle a un problème peut-être ? Il ne baisse pas le regard, intrigué néanmoins par ce petit bout de femme qui ne quittait pas son regard. Son billet passe sous ses yeux, scrutant chaque modalité avant de regarder une nouvelle fois la jeune femme qui avait tournée la tête. Un peu tarée. Mais tellement sublime.

J. Mona Gauthier a écrit:
La demoiselle finit par reporter son regard vers ses billets, les déchiffrant rapidement elle sut qu’il fallait qu’elle se rende à la douane, non sans un dernier regard vers le jeune homme aux divers tatouages. La douane, une partie de plaisir, tout ce qu’elle aimait faire, et sachant qu’elle avait pris tout ses effets personnels -ou presque- bien plus que le poids requis et demandé, elle allait devoir payer un supplément. « Comment ca j’dois payer un plus ? Vous êtes *****! C’est hors de question ! Vous avez vu le prix des billets déjà ? Ce n’est pas assez ? Puis, sérieusement, vous n’allez pas les porter sur votre tête c'est valises. » s’écria-t-elle avant de finir par lâcher un maigre billet de cinq euros, puis lancer un regard si assassin que l’agent ne tenta pas d’ajouter un mot. Tout le temps la seule à gueuler dans ce pays de trouillard. Après quoi, elle devait faire passer ses bagages sur le tapis roulant, l’espèce de rayon x, mais avant cela il y’avait une file monstre. Mona se percha sur les pointes de pieds pour jauger l’attente avant de se remettre à gigoter impatiente. Pire que tout, après quelques minutes, elle voyait la file avancer mais pas le type qui se postait devant elle. Se tenant derrière lui, Mona le descendit de son regard auburn avant de reconnaitre le type aux tatouages. Et, bien que par tout ces dessins imprimés sur sa peau il l’a fascinait elle ne mâcherait pas ses mots pour autant. « T’as besoin qu’on te tienne la main pour aligner un pas devant l’autre ! » railla-t-elle en arquant un sourcil.

Trois pas de plus, la douane, la file, tout le monde se bouscule. Bienvenue en enfer, chéri. Une voix. C'est donc elle. La brune. Toujours là quand on ne l'attend pas. La pseudo colérique qui crie sur tout ce qui bouge, cherchant désespérément à ce que quelqu'un s'intéresse à elle, cherchant à tous prix à se faire remarquer. Sombre garce. Il écoute, analyse ses paroles, les boit, se bouche les oreilles, soupire. Tout un tas de choses en un temps record. Comparé à la jeune femme, il ne devait pas payer en plus. Et puis même si cela avait été le cas, il n'aurait pas crier comme elle vient de le faire. C'est totalement irrespectueux. Inspection du temps qu'il mettra à poser ces fichus bagages sur ce putain de tapis roulant, avançant bien sur à deux à l'heure. Il écoute. Il regarde. Il soupire. Encore et toujours. Le brouhaha incessant de toute la foule qui l'entoure commence légèrement à le saouler, à l'énerver. C'est à son tour d'avancer. Mais une voix se fait entendre. Encore. Ses yeux roulent au plafond. La file est longue. Est-ce de sa faute ? Elle a une grande gueule. Est-ce de sa faute ? Elle a une grande gueule ET une voix insupportable, et, encore une fois, est-ce de sa faute ? Il se demande pourquoi elle est là. Si elle attend l'avion ou si c'est pour faire chier ces passagers. « Et toi t'as besoin qu'on te foute une baffe pour que tu fermes ta gueule ? » Il n’accorde aucun regard à cette personne et pose finalement ses bagages là où il devait les mettre. À lui l'Amérique. Si l'avion ne se crash pas en route bien sur.

Quelle salope cette brune. Elle parle, elle parle, elle parle. Elle lâche une insulte toutes les trois secondes et s’arrache à moitié les cheveux. S’arracher les cheveux. C'est ce qu'il aimerait faire, là, maintenant. C'est ce qu'ils aimeraient tous faire. Finalement, son bagage part vers de nouvelles aventures et il se dirige vers l'avion qu'il utilisera ces prochaines heures. Il n'aime pas l'avion. Il n'aime aucun moyen de transport. Et encore moins lorsqu'il y a une personne telle que... la brune, qui l'accompagne. Il ne la connait pas, il ne la croisée que trois fois. Quatre, tout au plus. Mais c'est déjà sa pire ennemie. Il scrute chaque personne avant de grimper dans l'oiseau mécanique. Il est comme aveugle, se grattant les yeux avec ses mains. Il est fatigué. Il est tard. Très tard. Il bouscule une personne, accidentellement. Eh merde ! « Putain non, je suis maudit ou bien ? » Il regarde les yeux de sa nouvelle meilleure amie. Elle est vraiment sublime, cette nana. Il soupire. Il hoche négativement de la tête. « Tu permets ? » Il pousse un peu plus la jeune femme, souriant, avant de prendre place. Qu'est-ce qu'elle foutait là. Qu'elle aille s'asseoir, bordel. Mais non. Elle s’assoit à côté de lui. Non. C'est une genre de grosse blague ? Un bon nombre de places sont encore libres, mais on lui attribue celle à ses côtés ? Il va porter plainte. Il ne reste plus que ça à faire.


J. Mona Gauthier a écrit:
Mona était prête à répondre face à la réplique du jeune homme, heureusement pour lui que c’était son tour. C’était pathologique chez elle, Mona avait besoin de la ramener. C’était une garce, toujours besoin de mettre son grain de sel, et alors ? Après quoi, ce fut son tour à aller de passer dix minutes chez les douaniers. Quel métier de merde sérieux. La brune les regarda sans broncher passer ses affaires aux rayons x. Quels bande merdeux. Un sourire hypocrite plus tard et elle embarqua dans l’avion. Amen, je l’ai fais. La belle chercha le numéro de la place qui lui avait été attribué, une fois trouvé elle sourit, resta debout le temps d’attraper le bordel dont elle avait besoin pour ses longues heures avant de se percher pour essayer de faire entrer son sac à main dans l’espèce de soute au dessus de leur siège. Quelques secondes plus tard on l’a bouscula. Elle serra les dents avant de pivoter sur ses talons. « Encore toi ! » s’exclama-t-elle furibonde. A croire qu’il le faisait exprès pour l’énerver. « Non, condamné à mort » lâcha-t-elle sans ciller. Et surtout avec elle dans les parages. Pxtain il est beau mais alors qu’est-ce qu’il est con. « Ai-je vraiment le choix de toute façon » répondit-elle en roulant des yeux avant de le laisser passer. Puis, elle se laissa tomber à son côté, croisant les bras sur sa poitrine blasée d’avoir foutu ses oreillettes d’ipod dans sa valise. Hors de question que je lui demande.

Cela faisait plusieurs heures que l’avion avait décollé et Mona s’emmerdait déjà. Le livre qu’elle avait pris ne l’intéressait plus maintenant, elle n’avait pas envie de lire. Regarder par le hublot commençait, tout autant, à l’agacer que le jeune homme était celui qui avait pris la place le plus proche de celui-ci. Mais, bref la vie continue. Mona eut le temps de se plaindre aux hôtesses de l’air de la mal bouffe qu’on lui avait servie. Ceci ne l’amusant plus, elle soupira avant de se caler dans son siège, ramener ses jambes sur ce dernier et vriller son regard vers le gars tatoué. « Mona » lança-t-elle en guise de début de conversation. S’il n’était pas coopératif, elle l’enverrait chier et basta.

Cette fille l'intrigue. Elle dit aux hôtesses que la bouffe est dégueulasse et, c'est vrai qu'elle n'a pas tort. En plus.. elle est moche. Pas Mona, mais l'hôtesse. D'ailleurs, elle s'appelle Mona. Elle venait de lui dire son prénom, comme ça, alors qu'il n'avait clairement rien demandé. Soit il ne va pas ronchonne parce qu'elle commence à lui dire son prénom. Qui est très beau d'ailleurs. Il se gratte le bras droit. Deux fois. La toise du regard. Parler ou se murer dans un silence. Il fallait faire un choix. « Hm. Flynn. »
« Tiens, ca me rappelle le chien de mon voisin »
« Il a la classe ce chien. Et sinon qu'est-ce qu'il te prend ? Pourquoi tu entâmes la conversation ? Madame s’ennuie, c'est ça ?
« Lui surement, toi, porter le prénom d'un chien un peu moins. Chacun son opinion. Pourquoi ? Je pensais que tu serais un bon divertissement..»
« Non, c'est le chien qui porte mon prénom. Je suis né avant lui, ce prénom me revient. Et je t'emmerde. »
« Tout aussi intéressant que ce chien » marmonne-t-elle.
« Oui donc c'est bien ce que je dis. Je t'emmerde. »
« Rassure toi, j'préférerais encore sauter de cette avion que de te parler, on a pas tout ce qu'on veut dans la vie. »

« Putain c'est clair. Mais bon, je ne pense pas que ton gros cul puisse passer à travers ce hublot. Vingt-deux, au fait. »
« Ta tête non plus, mais crois moi que j'forcerais autant qu'il faut, si j'en arrivais jusque là. Vingt-deux également. Connard. J'suis française. »
« T'es adorable. Je suis anglais. Mon père est parti avec une connasse aux USA. On baise ? »
« Merci. Et t'es plutôt canon. Mon père, je ne le connais pas. Ma mère est une sale pxte. Les chiottes ? C'est un fantasme que beaucoup nourrissent à ce que j’ai entendu »
« Ton père est un con. J'ai deux sœurs qui sont jumelles. Si tu les nettoies avant, okay. T'es la personne qui en sait le plus sur moi à présent. »
« Je le savais déjà. Je suis unique. Pas question, j'ai jamais touché à un balai de ma vie, j'vais pas commencer aujourd'hui pour ta gueule et pour une baise avec un inconnu. J'en suis ravie. Tu en sais plus que ma mère sur moi. J'suis une garce. »
« T'as de beaux yeux. »
« J'aime tes tatouages. »
« L'hôtesse est moche. J'aime ta voix, tes cheveux. Tes yeux. J'ai soif. C'est vrai cette histoire de chien ? J'ai toujours soif. »
« Leur bouffe est dégueulasse. J'aime ton style. Ton caractère. Je ne peux rien faire pour toi. Parle moi de ces tatouages. Tu as raison l'hôtesse est hideuse. »
« Putain, trop. Merci. J'aime le tien aussi. T'es une salope. J'aime ça. Je veux de la drogue, c'est grave ? Les tatouages me reflètent. Surtout la tête de mort. »
« Je m'assume entièrement. Jsuis pas ta mère, j'vais pas te faire la morale. Intéressant. Même là ! J'aime. Pxtain quand est-ce qu'on arrive. »
« J'espère pour toi. Ma mère est bien plus jolie et ses seins sont plus gros, mais merci. Je sais que tu me kiff. Demande à l'hôtesse. »
« Ta mère est vieille et ridée, jsuis jeune, j'respire la santé. Quant à mes seins, je t'emmerde. Si tu veux te taper ta mère fais toi plaisir. Pas besoin de l'hôtesse. Je le sais. »
« Ta gueule pour voir. J'aime tes seins. Non merci, ça ira. Dans combien de temps alors. »
« Tu sauras que je ne la ferme jamais. J'aimerais pouvoir en dire autant, peut être un jour les verras-tu. 4 heures peut être plus. Contente de te parler, Flynn. »
« Tu es soporifique. Mais divertissante. Ca m'évitera d'aller visiter un site porno, merci. Quatre heures à tes côtés, l'horreur. Mademoiselle deviendrait-elle gentille ? »
« Je t’en prie. Tout le plaisir est pour moi. Tu es paradoxal, mais je t'achèterais un dictionnaire, promis. J'suis pas à quelques euros près. Ne m'en parle pas, j'vais piquer un somme d'un moment à l'autre. Gauthier. Moi, gentille ? Même pas en rêve. »
« C'est noté. Je pourrai te dessiner une moustache. Quoi que non, j'en ai une sur mon index. (il lui montre). Le nom de ton frère ? De ton père ? Des deux ? Rosebury pour ma part. Je suis sur que quelqu'un d'adorable se cache derrière cette carapace. »
« Abstiens-toi. J'mène un combat sans merci aux poils. Ca m'écœure. T'es sourd Rosebury, j'ai dis que j'étais unique. Mon nom de famille. Évite de parier la dessus alors tu pourrais perdre gros, comme ce que tu as dans ton caleçon. »
« Petite nature. Unique ? Pas pour moi vas. Je sais. Je l'ai toujours su. Tu vois à travers le vêtements maintenant ? »
« Évidement, j'reste une fille. Et j'ai peur des araignées aussi. Bref. Bien sur, et autant dire que ce n'est pas très flatteur ce que j'arrive à voir »
« Je croyais que t'étais unique. Pas une fille comme toutes les autres. J'aime pas non plus. Mais je n'en ai pas peur. Oui, bref. Faudrait savoir. »
« Je ne suis pas comme les autres, mais je reste une fille. T'es bien un mec, tu comprends rien. Je parlais au niveau de la valeur que tu lui accordes pas à sa taille. »
« Soit. Tu juges trop vite. Je suis différent. Je ne pense pas avec ma bite tu sais. Pas tout le temps du moins. »
« Je sais. C'est bien connu, bien pour ca que je suis devenu critique dans plusieurs domaines. Heureuse de l'apprendre. Et à quoi penses-tu d'autres alors ? »
« Tu sais tout. Je t'aime déjà. Je pense à la vie, aux gens. Je hais les gens. J'ai envie de t'embrasser. »
« On a vite fait le tour. J'aime pas grand monde non plus. On est plus ou moins sur la même longueur d'onde. Arrête de parler et agis alors. »
« On était fait pour s'entendre. Je crois. Tellement simple que je sens le coup fourré venir. Mais soit. (il l'embrasse) »
« Tu as raison de ne pas me faire confiance. » Leur conversation est intéressante. Ils se connaissent, à présent, assez bien. Comme s'ils se connaissaient depuis toujours. Mais non. Seulement depuis quelques heures. Et ce n'est pas plus mal comme ça. C'est une tête à claques. Pourtant il l'embrasse. Et il apprécie ça. Elle ne lui fout pas sa main dans la tronche. Il roule des yeux, à droite, à gauche. « Pas trop mal » Pas trop mal ? Elle est cinglée. Il n'aurait pu rien faire, aussi. « Ouais. Pas trop mal. » C'est parti pour quatre heures, au moins, de vol, avec Mona comme compagnie. Bonne chance.


Dernière édition par Flynn-Wilson Rosebury le Jeu 11 Aoû - 7:43, édité 11 fois
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Katniss-Azalee Heatley

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MessageSujet: Re: FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ?   FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? EmptyVen 5 Aoû - 23:15

bienvenue I love you
je te réserve Josh (:
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Camille-Avery Lowe
Camie Je suis térrifiée à l'idée de devoir encore me passer de toi.
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MessageSujet: Re: FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ?   FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? EmptySam 6 Aoû - 4:47

bienvenue parmis nous !
J'aime beaucoup ton avatar FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? 4101470396
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A. Muse Hamilton

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MessageSujet: Re: FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ?   FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? EmptySam 6 Aoû - 6:00

Jooosh FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? 3704449417 Bienvenue !
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Fauve Chelford

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MessageSujet: Re: FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ?   FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? EmptySam 6 Aoû - 10:01

Josh FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? 3704449417
Bienvenue sur le forum !
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MessageSujet: Re: FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ?   FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? EmptyJeu 11 Aoû - 18:19

délais dépassé, peut-on avoir des nouvelles..?
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Flynn-Wilson Rosebury

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MessageSujet: Re: FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ?   FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? EmptyVen 12 Aoû - 20:06

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    serait-il possible d'avoir un délai? I love you
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A. Muse Hamilton

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MessageSujet: Re: FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ?   FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? EmptySam 13 Aoû - 5:29

aucun soucis, tu as une semaine de délais supplémentaire (: soit jusqu'au vingt. *-*
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MessageSujet: Re: FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ?   FWR ◮ mais qui m'a pris mon identité ? m'a transformé en fichier ? Empty

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