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 Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV]

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Mylan A. Alister

Mylan A. Alister

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Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV] Empty
MessageSujet: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV]   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV] EmptyDim 14 Aoû - 20:31

L'étape de la socialisation n'avait en vérité rien d'anodin ; il fallait faire preuve de sang-froid, parvenir à esquisser quelques sourires de temps à autres, et point essentiel, ne pas envoyer balader toutes personnes à tout va.

Premièrement donc, au-delà de l'aspect de l'éthique de la politesse stupide qui consistait à saluer tous les matins les autres qui constitués de collègue, voisin, ami(e)– si tant est que Mylan y parvenait tous les jours – il fallait accepter sans broncher de participer aux événements festifs. Refuser de s'y rendre alors que des tierces personnes vous y avaient invité, vous cataloguait directement en tant qu'ermite solitaire.

Secondement, accepter les us et coutumes des plus idiots célébrant la fête de leur naissance : ah l'ironie, jours très attendu par de nombreux personnes. Ce qui impliquait donc cadeaux, être aimable, penser à autrui plutôt qu’à soi, sous peine de subir l'Inquisition des autres camarades. Dans quel pétrin c’était-il fourré en disant oui pour fêter l'anniversaire d'un certain Tyler ? 'Socialisation', avait-il pensé fortement pour ne pas rembarrer ses petits camarades, et finalement revêtir d'un jean troué -non un effet de mode mais bien du à une chute - et un t-shirt et se rendre au bar pour pouvoir faire la fête. Youpi ... Arrivé à la porte du bar, le jeune homme chercha des yeux quelques connaissance. Chose faite, il avança vers le groupe.

Troisièmement, le plus ardu : se fondre dans la masse, accepter les conversations superficielles, mais surtout accepter les verres qu'on pouvait lui tendre. C'est ainsi que, gorgées après gorgées, le mutisme de Mylan s'était mué en un bavardage déjà plus raisonnable, et le sourire du blondinet s'élargissait de plus en plus. En outre, ce dernier était complètement saoul et avait les sens embrumés. L'alcool avait sur le jeune homme des effets ... apaisants, si bien qu’il était même légèrement effrayé à l'idée d'en consommer une trop grande quantité, de peur de laisser filer cette réputation d'homme solitaire qui le suivait partout et dont il était si fier. Mais ce soir-là, le jeune homme s'était laissé un peu trop emporter par la folie ambiante. Il ne s'en était pas rendue compte, mais plus les verres défilaient devant lui, plus il buvait, et petit à petit, sa langue se déliait.

Les esprits s'échauffaient donc, les langues se déliaient, et l'esprit du jeune homme se libérait peu à peu. Point négatif de ce qu'on pouvait éventuellement prendre pour un semblant de liberté ; il n'était pas certain que le jeune homme complètement saoul ne parvienne à se contrôler. Car déjà, son regard fauve glissait de femme en femme, dissimulés derrière des rires et des sourires soit disant sympathiques. Et c'est ainsi que le froid Mylan devenait de plus en plus charmeur. On aurait dit un fou doublé d’une nymphomane sadique. Il se dirigea vers le comptoir quand il aperçu une jolie blonde.

MYLAN – « Sinon jolie demoiselle tu sais que l’orgasme moyen d’un cochon est de trente minutes ? »

Oui l'alcool rapproche. Un peu trop peut-être. Quelques personnes observaient la scène avec un intérêt quasi scientifique, constatant les ravages que pouvait faire tout excès sur la pensée humaine... Pauvres petites choses...
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B. Edwige Lockhart

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MessageSujet: Re: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV]   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV] EmptyDim 14 Aoû - 21:29


EDWIGE & MYLAN
Les soirées entre nanas. C'est le genre de soirée pour laquelle vous passez six heures dans votre salle de bain, à essayer toutes les tenues possibles et imaginables, à tester toutes les coiffures, et à user de l'eye-liner en tentant un maquillage qui se doit d'être parfait, autrement dit autant prononcé que discret et qui paraisse un tant soit peu naturel, histoire de ne pas avoir l'air d'un pot de peinture. Bon, je n'ai peut-être pas réfléchis en osant affirmer que ce rituel, en quelques sortes, tenait sur six heures. Je dis ça parce-qu'en fait j'en ai mis plus que ça. Peut-être à cause du fait que j'ai du, d'urgence, aller me trouver une paire d'escarpins vernis noirs après avoir très adroitement, détruit le talons d'un des miens. Enfin, tout ce cirque pour avoir finalement choisi de sortir en robe bustier noire et avec les cheveux relâchés, ni lissés, ni parfaitement ondulés, juste naturels. La même chose que ce que j'ai le matin mais en version démêlée et un tantinet plus présentable, en somme. Après mes multiples essayages et ma course aux escarpins, j'étais finalement en retard, moi qui avait pourtant été jusqu'à bannir une grasse matinée sur une bonne journée de congés pour être sûre d'être prête à temps.

En retard donc, j'avais, en vitesse, pris le chemin vers le bar là où nous devions toute nous retrouver. Hors, une fois sur place.. personne ! Pas un chat. Enfin, si, mais pas les miens. Etonnée, je regardais l'heure sur mon téléphone portable avant de remarquer la date d'aujourd'hui et de rager. Finalement cette petite soirée que j'attendais tant n'aurait lieu que dans une semaine, youpi ! A croire que j'avais bousillé toute une journée pour rien. Bon, maintenant, j'étais là, et je me voyais mal rappeler un taxi alors que je venais d'en sortir. Déçue, et énervée après moi-même et mon incroyable talent pour me repérer dans le temps, j'allais poser mes fesses sur une chaise, près du comptoir, commandant un diabolo menthe, soyons fous ! Servie rapidement après avoir demander de ma boisson, je commençais donc à boire. Ce n'est clairement pas avec un peu de limonade et du sirop de menthe que j'allais pouvoir profiter un tant soit peu de ma soirée, mais, idiotement, c'est la seule chose qui m'était venue à l'esprit lorsque le séduisant barman m'avait demandé ce que je voulais. Je sirotais donc ce qu'il se trouvait dans mon verre avant d'être interrompue dans mes songes par une voix masculine qui me lâcha une phrase autant ignoble que sordide. Sans me tourner vers l'intéresser je lui exprimais le fond de ma pensée.
MYLAN Sinon jolie demoiselle tu sais que l’orgasme moyen d’un cochon est de trente minutes ?
EDWIGE Magnifique. A par ça tu peux éventuellement aller exercer ton ivresse au près d'une autre jolie demoiselle.
Lâchais-je sans me rendre compte qu'il s'agissait d'une personne que je connaissais, et pas qu'un peu. Je menais mon verre à mes lèvres, invitant une nouvelle gorgée à emprunter le chemin infernal jusqu'à mon estomac, et, alors que j'étais en train d'avaler, eus l'idée de me tourner vers le fameux demoiseau qui venait de s'adresser à moi. J'étouffais littéralement, me retrouvant comme une idiote à tousser à cause de cette foutue gorgée qui, face au choc, si on peut le qualifier comme tel, était mal passée. J'attrapais la serviette de mon voisin de comptoir, me la plaçant devant la bouche le temps de terminer mon agonie momentanée, et de me remettre de mes émotions.
EDWIGE Mylan ? what the fuck ? qu'est-ce que tu branles ici ? Et.. raide mort, en plus..
Le croiser ici n'était pas ce qui me choquait le plus finalement. Ce qui me chagrinait, en exagérant clairement, était son état. Du peu que je me souvienne, rares étaient les fois où j'avais su le voir complétement raide. Je cherchais je ne sais quoi du regard, peut-être des têtes avec qui j'avais pu l'apercevoir auparavant, histoire de me faire une idée des personnes qui l'avait tiré ici. Puis me mis à fixer mon voisin de gauche, il paraissait seul. Seul, vieux et mort d'ennui. La raison qui me laissa supposer qu'il pouvait aller tester la fiabilité d'un autre siège, pour faire de la place à l'humain alcoolisé qui me faisait office d'ami.
EDWIGE Dîtes, ça vous dirait de dégager ? Y'a un siège plus loin, j'ai besoin de celui-là.
Demandais-je, d'une drôle de manière, qui se voulait principalement impolie et vraiment désagréable. Et, voyant que Bertrand, nommons-le de cette façon, ne semblait pas décider à déguerpir, je prenais soin de me mettre sur mes jambes afin d'employer la seconde option, le virer sans passer par une demande orale. Je tirais le tabouret de façon à ce que cet homme s'en aille enfin, ce qu'il fit assez rapidement, à croire que j'étais finalement très douée en persuasion, avant de faire signe à Mylan se s'y poser. C'est d'ailleurs en allant pour lui dire de s'installer que je vis qu'il m'avait, entre temps, pris ma place, et qu'il se trouvait donc assis là où j'étais quelques secondes avant.

Je me résignais à utiliser la place du retraité, attrapant mon verre avant que le blond n'ait la bonne idée de boire dedans ou de le renverser je ne sais où, puis le regardais, lui jetant un sourire en attendant qu'il me raconte ce qu'il faisait là, comme j'avais su lui demander en le voyant.


Dernière édition par B. Edwige Lockhart le Mar 16 Aoû - 9:03, édité 1 fois
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Mylan A. Alister

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MessageSujet: Re: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV]   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV] EmptyLun 15 Aoû - 23:20

A vingt deux heures trente, et après quelques verres - il n’avait pas compté, ou oublié le compte - Mylan était devenu plus joyeux que d’habitude. Non, quand je dis ça, c’est pas un euphémisme, hein, il riait vraiment, mais vraiment pour rien. Le bar était son nouveau repère, là ou il ne voyait pas trop clair, et ou les tables s’étaient dédoublés trois fois devant ses yeux. Il marchait encore droit, jusqu’à ce qu’on lui mette un nouveau verre dans les mains, comme si il était déjà pas assez pété comme ça. Il aperçut soudainement au loin vers le comptoir sa jolie blonde, Edwige, - en double ? -. « geeenre, Edwiiiiiiiiige, t’as une jumelle ! Pourquoi t’me l’avait jamais dit ? T’abuses quoiii .. Bah oui j'ai toujours rêver de faire un truc à trois mais encore plus avec deux jumelle !» …Ais-je besoin de préciser qu’il délire totalement, ou vous avez compris ? De toute façon, à ce point-là, il vaut mieux la laisser dans son délire. Heureusement -ou pas- Edwige devait être assez loin pour l'entendre, rien de mieux que d'aller jouer de ses charmes près d'Edwige pour qu'elle lui présente sa jumelle. Et c'est ainsi que le froid Mylan devenait de plus en plus charmeur, tentant d'attirer certaines de ses jolies victimes dans ses filets : pour une demoiselle tirée vers sa chambre, c'était l'assurance de ne pas passer la nuit seul et une nuit de sexe sans penser à Muse qui avait bêtement perdu. L'ardeur du jeune homme n'était au final pas pour déplaire, quand bien même ce dernier n'aurait jamais abordé autant de filles faciles, une fois sobre... Et c'est alors que, guilleret et emporté par les joies chaleureuses des effluves alcoolisées il sorti le grand jeu

MYLAN – « Sinon jolie demoiselle tu sais que l’orgasme moyen d’un cochon est de trente minutes ? »
EDWIGE - « Magnifique. A par ça tu peux éventuellement aller exercer ton ivresse au près d'une autre jolie demoiselle. »

Malheureusement, cela n'était pas assez pour rendre folle la jolie blonde ! De prime, il avait deux jolies blondes pour le prix d'une ainsi il devait AB-SO-LU-MENT faire mieux ! Question d'honneur et d'égo ! Surtout que ces vieux camarades devaient le surveiller du coin de l'oeil assis au fond du bar ! Il porta ses rétines ambrées sur une silhouette délicate et gracile : la demoiselle de ses pensées, l'inaccessible, l'appétissante et... l'agaçante Brownie Edwige Lockhart. Ainsi, Mylan dos à elle, après sa phrase théorique sur le cochon, attrapa son fin poignet avec plus ou moins de délicatesse, et la força à se tourner vers lui d'un geste sec mais maîtrisé.

MYLAN - « Je t'embrasse si je te montre mes canines. »

Plait-il ? … Ne cherchons au final pas de logique dans les paroles du jeune homme dont le regard était resté fixé sur le cou de la demoiselle : prêt à se pencher sur cette dernière, c'est alors cracha la moitié de sa boisson sur le beau blondinet. Le charme fou de Mylan ne faisait pas vraiment l'effet qu’es-conter le jeune homme ; loin de là ! Dans ce jet de Diabolo menthe surprise, Mylan lâcha Opium et manqua à son tour de tomber en s'essuyant les yeux.

EDWIGE - « Mylan ? what the fuck ? qu'est-ce que tu branles ici ? Et.. raide mort, en plus.. »

C'est une certitude à l'heure actuelle: il était cuit. Cuicui. Oui et complètement mort aussi. Rien que la tête de la demoiselle quand elle l'avait aperçu était des plus hilarantes. Mais pour la partie à trois ce sera pour une prochaine fois, le pauvre il ne tenait presque que plus debout. Cette fête s'était transformer en fête des alcooliques anonymes récidivistes. Surtout pour Mylan. Surtout ...

EDWIGE - « Dîtes, ça vous dirait de dégager ? Y'a un siège plus loin, j'ai besoin de celui-là. »

Elle s'était lever de son sieste pour le faire lever. De son poids plume, elle était comme même carrément terrifiante. Je vous jure, je me serais lever directos sans discuter. Mais j'ai préférais prendre plutôt sa place, elle avait l'air d'y tenir à la place du vieux crouton. Mieux vaut pas l'énerver la Edwige !

MYLAN - « Diiis, Catwoman...Euh Edwige. Tu me montres quelques tours ? Genre... Ta souplesse... Ou... naan, laisse tomber. Eh ! Tu savais que les oiseaux n'avaient pas d'anus ? Non enfin... Jsais pas, j'ai pas testé hein ? Mais il paraît... J'espère qu'ils se font pas violer par des Scroutts à pétards... Humm... Haha. Ohhhh mais... Vous avez vuuuu ?» S'exclama soudain Mylan, histoire de faire diversion sur sa blague douteuse concernant les oiseaux. « tu sais que le lion peut faire l’amour plus de cinquante fois par jour? Alors, tu préférerais être un cochon ou un lion? »
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B. Edwige Lockhart

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MessageSujet: Re: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV]   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV] EmptyMar 16 Aoû - 11:32

Je t'embrasse si je te montre mes canines. Je n'avais comme, rien compris à cette phrase qui me semblait autant tordue que dépourvue de toute logique. Enfin, je ne m'attardais pas là-dessus, bien que j'aurais pu, et vu son état, ça aurait été un véritable enfer pour lui. Lui, Mylan, évidemment. Me retrouvant donc en travers sur le siège du précédent vieillard, histoire de me retrouver face à Mylan, je terminais mon verre, d'une traite, avant de le reposer sur le comptoir. Pas question pour moi de boire quelque chose de plus fort, vu l'état de l'autre clown, si je m'y mettais aussi, nous finirions certainement le nez dans des sacs poubelles au fond d'une ruelle sombre et effroyablement dégoûtante.
MYLAN Diiis, Catwoman...Euh Edwige. Tu me montres quelques tours ? Genre... Ta souplesse... Ou... naan, laisse tomber. Eh ! Tu savais que les oiseaux n'avaient pas d'anus ? Non enfin... J'sais pas, j'ai pas testé hein ? Mais il paraît... J'espère qu'ils se font pas violer par des Scroutts à pétards... Humm... Haha. Ohhhh mais... Vous avez vuuuu ?
De ma souplesse nous passions aux anus inexistants des oiseaux, ce que j'étais étonnée d'apprendre en parlant de ça, bien que ce soit définitivement le cadet de mes soucis, enfin. Je ne savais absolument pas quoi répondre à tout ce qu'il marmonnait. Et j'étais surtout gênée du fait que la plupart des personnes posées au comptoir, panel qui d'ailleurs était constitué à au moins 99% d'hommes, puissent suivre l'intégralité de notre discussion et donc entendre chaque âneries que mon camarade était susceptible de sortir. D'autant plus qu'il parlait suffisamment fort pour que tout le monde ait la chance de suivre tout ça. Je passais une main sur mon visage avant de lever mon regard vers le blondinet, il enchaînait les anecdotes tellement rapidement que je l'imaginais capable de zapper tout ce qu'il venait d'annoncer en quelques secondes.
MYLAN Tu sais que le lion peut faire l’amour plus de cinquante fois par jour ? Alors, tu préférerais être un cochon ou un lion ?
EDWIGE Mylan.. je.. t'as bu quoi ? pourquoi tu.. bref ! Mais à choisir, je préférerais être un lion. Et toi, porc ou félin ?
Vu son raisonnement sur ces gros chats à crinière, je devais maintenant passer pour une sympathique nymphomane. Mais c'est ce que j'étais j'assumais, si l'on peut le dire ainsi. Finalement, je me mis à rire en regardant mon ami, je ne l'avais jamais vu comme ça, c'était impossible, dans le cas contraire, c'est une chose dont je me serais souvenue à vie ! Non parce-qu'avions le, c'était assez collector. Je croisais mes jambes, ayant une question bien plus intéressante que de savoir si oui ou non les poissons clowns avaient des ailes, si les gorilles avaient des relations homosexuelles, ou si les renards se léchaient entre eux.
EDWIGE Et hors-mis me donner des infos sur la sexualité des animaux, ce qui me laisserait presque croire que vu toutes tes connaissances tu serais bien zoophile, tu n'as pas de croustillantes théories sur les hommes ?
Zoophile oui, après tout ce qu'il venait de me dire j'avais quelques doutes. Pourtant je ne trouvais pas que Muse ressemblait tant à un chimpanzé que ça, la pauvre. Cela dit, je faisais parti de la classe des hommes, de la dernière évolution de l'être-humain, et quitte à apprendre des choses concernant les activités sexuelles des parasites présents sur cette planète, autant que j'en sache plus sur les bestioles de mon espèce non ?
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MessageSujet: Re: Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV]   Qu'importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse ? [PV] Empty

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