YOU SHOWED HIM ALL THE BEST OF YOU Ϟ parce que c’est ce que font les gens. Ils se jettent. En priant le ciel de les faire voler. Vu que sans un miracle on est sûr de se ramasser en beauté. Alors on se demande, tout le temps que dure la chute : « Bon sang, qu’est-ce qui m’a pris de sauter ? » regarde moi, je viens de sauter. Il n’y a qu’une personne qui me donne l’impression d’avoir des ailes et de planer. Toi.« VIVRE CE N'EST PAS SEULEMENT RESPIRER...C'EST AUSSI AVOIR LE SOUFFLE COUPÉ.» just the way you are ↔ mashup. ♪

Cela ne faisait que deux jours que j'étais rentrée de France, pourtant même si j'avais retrouvé ma terre natale, ce pays me manquait, ces gens me manquaient. J'avais passé deux ans de ma vue là bas, ce n'était pas rien. Mais j'étais heureuse d'être ici, j'allais bientôt revoir ma cacahuète, lui raconter tout ce que j'ai fais, en passant de ce qui était important et ce qui ne l'était pas et sachant que j'allais lui parler, avec elle tout était important. Il était déjà dix-heures du matin, le lit deux place me semblait vide quand je passa une main du côté de Jax', il n'était pas là. Je fus déçu de ne pas le voir, il me semblait qu'il avait bien récupérer, tout le contraire de moi. Le décalage horaire m'avait complètement bouleversé. Bon ça n'enlève pas le fait que je sois une très grosse dormeuse mais j'avais l'impression que je passais mon temps au lit depuis deux jours. Je décida finalement de me lever, rabattant les couvertures sur le côté, je sauta sur mes pieds et partit en direction de la cuisine. Je ne connaissais pas vraiment la maison, mais mon ventre m'indiquait très bien le chemin du frigo. Une fois devant, j'ouvris la porte et une vague de froid me fit frissonner ce qui ne me fit pas reculer, quand j'avais faim j'avais faim. Je regarda alors ce qu'il y avait, pas grand chose on n'avait pas encore fait les courses. Je soupira, mais trouva une part de pizza de la veille, j'haussais les épaules tout en la prenant. Je fermais la porte tout en la fourrant dans ma bouche, pas très équilibrée je sais mais quand j'avais faim je pouvais manger n'importe quoi. Je trouverais quand même un moyen de perdre tout ce que je manque. Je ne voudrais pas redevenir comme avant. Bref, je partis dans le salon pour m'installer sur le canapé, allumant au passage la télé. Il n'y avait pas grand chose d'intéressant à la télé. Je fourra une nouvelle fois ma pizza dans la bouche et la mâcha en laissant tomber ma tête en arrière, il n'y avait pas grand chose à faire. A si déballer les cartons, mais d'abord je devais finir ma pizza. Alors je la finis en regardant ce qu'il y avait à la télé.

Une fois devant les cartons, j'étais désespérée, complètement. Et sérieusement, je n'avais pas la fois de le faire. Mais d'abord, je devais prendre une douche. J'avais chaud, il faisait chaud. Je partis alors dans la salle de bain, j'en ressortis une demi-heure plus tard, une serviette autour de la taille, les cheveux mouillés tout dégoulinant d'eau et qui sentait la noix de coco, comme mon gel douche d'ailleurs. Je me regardais dans la glace, j'étais blanche, je ne le comprenais pas, en même temps mes parents n'étaient pas foncé, ma mère était une française pure souche et mon père américain, il n'était pas non plus bronzé. Mais, j'étais beaucoup plus blanche que. Bref, je m'en foutais en faite. Je me sécha et m'habilla simplement d'un débardeur noir et d'un short de sport noir, avec des lignes blanches sur le côté. Une fois habillé, je m'attela à vider tout les cartons posés un peu partout dans la maison. Je vida toutes mes affaires sur le lit. Mais avec un peu de musique serait mieux n'est ce pas.

Mademoiselle Delweet & monsieur Chambers

Je mettais réveillé de bonne heure ce matin. J'avais bien récupéré du décalage horaire, je dois dire que cela ne m'avais jamais causé problème étant un jeune homme qui restait rarement au lit jusqu'à midi. Après avoir regardé mon amoureuse dormir et m'être préparé en vitesse. J'avais embrassé ma bien aimé sur le front en veillant à ne pas la réveiller. Je savais que la jolie blonde était une grosse dormeuse et qu'elle avait besoin de plus de temps qu'il ne m'en avait fallut pour se remettre du décalage horaire. J'étais descendu et avais avalé mon petit déjeuner en vitesse - si un café et une pomme est considéré comme un petit déjeuner - avant d'attraper mes clefs de voiture et de quitter l'appartement. Je mettais rendu par la suite à la plage. Endroit auquel je n'avais pas vraiment songé, mais mon subconscient m'y avait emmené. La plage était certainement mon endroit favoris. J'y avais passé tellement de temps pendant mon enfance, et pas seulement d'ailleurs. Je me souviens encore, lorsque j'étais ado' et que j'avais un coup de blues, je me rendais à la plage et j'allais nager ou courir pour me changer les idées. C'était la seule chose qui fonctionnait chez moi. Mon endroit de réconfort. Passons. Après avoir passé quelques heures sur le sable chaud, je mettais décidé à rentrer chez moi, ou plutôt, chez nous. J'étais passé acheté deux croissants avant de rentrer histoire de faire un petit clin d'oeil à la France.

En rentrant dans l'appartement, je sentais une odeur de noix de coco et me mis à sourire machinalement, reconnaissant tout à fait le gel douche e mon amoureuse qui enivrais à coup sûr toute les pièces. Je savais donc que la jolie blondinette qui partageait ma vie était debout et lavée. Arrivant dans la cuisine, j'ouvris le frigo et attrapa une bouteille d'eau fraîche, juste avant de refermer la porte je me rendis compte que le frigo était quasi vide. Je me doutais donc qu'Aria n'avait pas dû manger grand chose ce matin. Entendant du bruit à l'étage je fronçais légèrement des sourcils me demandant ce qu'elle était encore en train de manigancer là-haut. Je montais en vitesse et l’aperçut dans notre chambre. Elle avait vidé je ne sais combien de cartons sur notre lit et affichait sa tête de mademoiselle je ne suis pas motivée du tout. Je tentais de me retenir mais je ne pu le faire plus longtemps, me voilà partit à rire tout en croisant les bras. Je savais quelle n'aimait pas quand je me moquais d'elle, mais j'aimais tellement ça. « Woh, 'tention les yeux, mademoiselle Delweet à décidé de ranger.» Je vins m'approcher d'elle et l'attrapa par la taille « Comment va la plus belle de toute ce matin ? » lui lançais-je avant de venir déposer mes lèvres contre les siennes, lui donnant un doux baiser. Je plongea mes yeux dans les siens et toucha mon nez avec le sien avant de tourner le regard pour regarder la chambre. Cette dernière était remplit de tonnes de cartons, et je dois dire que la motivation n'étais vraiment vraiment pas présente. Je poussais un soupire et reposa mon regard vers mon amoureuse en affichant un moue « Je préfère te regarder, ça me déprime tellement de voir tout ces cartons je te jure c'est affolant. Oh ! J'ai acheté un croissant ma chérie, histoire que tu ne sois pas trop dépaysée, je suis adorable n'est-ce pas ? » j'affichais un énorme sourire, histoire de faire l'idiot comme d'habitude.

Mademoiselle Delweet & monsieur Chambers

Après être rentré dans la chambre tranquillement, j'avais fais sursauté mon amoureuse en ouvrant la bouche. Elle avait affiché un merveilleux sourire et je l'avais pris par la taille avant de l'embrasser doucement « Comment va la plus belle de toute ce matin ? » - « Oh, et bien la plus belle de toute n'est pas motivé à tout ranger, elle aurait mieux fait de les laisser encore fermé ces cartons. » j'avais rigolé en entendant ses propos puis l'avais embrassé une nouvelle fois avec tendresse. J'avais par la suite tourné le regard vers le lit, et avais rapidement détourné mon regard vers Aria qui était plus jolie à regarder - « Je préfère te regarder, ça me déprime tellement de voir tout ces cartons je te jure c'est affolant. » - « Oh je suis tout à fait d'accord avec toi, les déménagements ce n'est vraiment pas mon truc, mais alors vraiment pas ... » elle avait sourit et lui avait rendu celui-ci, avant de continuer : « Oh ! J'ai acheté un croissant ma chérie, histoire que tu ne sois pas trop dépaysée, je suis adorable n'est-ce pas ? » - « Mais tu es le plus adorable du monde ! et pour te remercier, tu as le droit de faire ce que tu veux de ta copine. » elle avait affiché un large sourire avant de reprendre « mais pas de meurtre, pas de violence, la pauvre quand même elle ne mérite vraiment pas ça. » j'avais rigolé en l'entendant me dire cela. Je lui répondit avec humour « Oh mince c'était pourtant ma première idée ... », elle s'était retourné et s'était mise sur la pointe des pieds, déposant des petits baiser dans mon cou : « Alors, que décide-tu de faire ? » j'avais souris et avait commencé à l'embrasser tendrement, mais soudain je m’arrêtais net. Je devais lui dire quelque chose. Je savais que ce n'était pas le moment idéal mais il fallait que je l'aborde avec elle, après tout nous nous étions promis de tout nous dire. Je m'étais légèrement reculé d'elle et avait affiché un petit air gêné avant de lui avouer : « J'ai vu Katniss ce matin ... » Katniss. Le sujet le plus tabou de notre relation. Nous en parlions rarement, car cela finissait en général par une dispute. Aria savait pertinemment tout ce que j'avais vécu avec Katniss, elle savait combien elle avait compté pour moi et se doutait que jamais je ne pourrais l'oublier. C'était une énorme coïncidence que je la rencontre ce matin, alors que cela ne faisais que deux jours que j'étais rentré. Mais peut-être était-ce le destin qui voulait ça. Je regardais Aria sans dire un mot, attendant que quelque chose sorte de sa bouche.

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