Jules (nom au choix)



24 ans ϟ xx/xx/1987 ϟ originaire de Cape May ϟ célibataire ϟ profession ou études
TRAITS DE CARACTERES: CHARMEUR-POINTILLEUX-ATTACHANT-SOURIANT-D'UNEGENTILLESSEINCROYABLE

L'histoire de Jules est relativement libre. Quelques points sont à respectés cependant.
- Il a toujours vécu à Cape May.
- Il est issu d'une famille avec des revenues moyenne. Ni pauvre, ni riche.
- Il connait Camille depuis le secondaire mais ils ne se parlaient pas, ils ont vraiment une relation depuis un ans.
- C'est un mec bosseur, qui veux réussir dans la vie.
- Il est d'une gentillesse incroyable.
- Il ne croit pas vraiment en l'amour car son père trompait énormément sa mère avant de mourir tragiquement cela dit, il aimerait vraiment tomber amoureux.

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- I WANT YOU. - NOW ? - JUST NOW, OK ?

- C'était une erreur. Il levait les yeux au ciel. - J'en étais sur ! Elle avait enfouis son visage entre ses paumes, et revivait la scène en boucle dans sa tête. Elle n'avait pas pu trahir l'homme dont elle était folle amoureuse depuis quatre ans, l'homme avec qui elle allait sans doutes faire sa vie... Et pourtant, elle venait de le faire. - Camille c'est bon, il ne le saura jamais et puis c'est tout ! Tu te fais du mal pour rien là. - Tu ne comprends pas.. Le jeune homme la regardait, l'air un peu embêté. Je n'irais pas jusqu'à dire qu'il culpabilisé mais, au fond de lui, il s'en voulait un peu de la voir souffrir. - Tu sais, je te déteste. Elle se levait, et quittait l'appartement sur ces quelques mots.

- Camie ? La brunette passait la porte de l'appartement de Jules, et s'affala sur le canapé. Elle semblait désespérée. Ses yeux étaient gonflés, ses joues bouffies, son teint était pâle, et ses cheveux, regroupés en chignon sur le haut de sa tête, paraissaient abimés. - Je peux savoir ce que tu fais ici ? Tu es chez moi je te rappelle. - Aide moi, s'il te plais... Elle n'avait pas eu le temps de finir sa phrase qu'elle s'étalait sur le sol, tombant du sofa. Aussitôt il accourait vers elle. Jules était un mec comme ça, le genre de mec qui, quoi qu'il se passait, assurait toujours.
Camille-Avery ouvrit enfin les yeux, quelques heures après. Elle était allongé dans le lit de Jules, et lui était là, assit sur une chaise, un livre entre les mains. - Camie ? tu es réveillée ? tu m'as fais peur... Il caressa le visage de la jeune femme et lui tendit un verre d'eau. Elle l'accepta sans broncher et fondit en larme sur le lit, lâchant le verre qui tomba sur sa couette. Le jeune homme, pénétra dans son lit, s'assit contre le mur, et prit la jeune femme entre ses bras. - Tout va bien Camie, tout ira bien d'accord ? C'est une promesse. Il la serra très fort dans ses bras.

Arrête de changer de sujet. Arrête de te remettre en question tout le temps. Fais ce qui te plais comme il te plait. Et arrête, je t'en supplie, de ne pas avoir confiance en toi. Tu as tout pour toi, tu ne t'en rends même pas compte et c'est ce qui te tue. De toutes façons tant que tu resteras enfermé chez toi ou chez moi, rien n'ira mieux. Bordel, arrête d'avoir peur. Prends conscience que tu es comme tout le monde. Et dis toi, une bonne fois pour toute que tu peux y arriver, toi aussi. Et s'il te plais, sors. - Tu ne peux pas comprendre Jules. Il leva les bras au ciel. C'est ça oui, je ne peux pas comprendre ! Je suis insensible peut-être ? Tu es folle amoureuse de lui, tu as couché une fois avec moi, ce n'étais pas le bout du monde, il ne l'aurait jamais su, mais tu l'as quitté et tu es venue vers moi. Bordel, tu cherchais quoi Camille ? Tu l'as quitté, pour venir t'enfermer dans mon appartement. Tu crois pas que là tu l'a encore plus trahis ? Tu joues avec mes sentiments depuis le début de toute façon. Tu crois que je ne me suis pas attaché à toi avec le temps, moi peut-être ? Tu passes t'es journées à me parler de lui, tu ne penses pas une seconde à ce que je peux ressentir pour toi. Je suis pas le genre de mec à tomber amoureux, et d'ailleurs je ne suis pas amoureux de toi. Mais bordel, Camille, ouvre les yeux... Elle resta stupéfaite. Elle n'avait jamais pensé à ce qu'il avait pu ressentir pour elle depuis le début. Avec le temps, il était devenu comme son meilleur ami. C'est lui qui l'avait aidé à s'en sortir, qui l'avait fait remonter à la surface. - Je suis désolée... Elle déposa un baiser froid sur les lèvres du jeune homme avant de vite se retirer. - Ne fais pas ça. Jules lui sourit, lui caressa la joue, déposa un baiser doux dessus, et se leva en direction de la cuisine.