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« Allo papa ? Comment tu vas ? Ça fais longtemps […] ça va très bien ! Tu viens me voir quand ? […] sinon tu m’appelais pour … […] quoi ? Oh non ! Tu sais a quel point je déteste ça… […] roh non ! S’il te plait, me force pas […] PARCE QUE C’EST LA MORT CES TRUCS LA ! […] ça dépend, combien ? […] tu m’intéresse là, mais si t’es prêt à me filer 100 j’dois pouvoir encore négocier… […] ah ! Je préfère ! Très bien ! Ravie d’avoir négocié avec vous monsieur Hamilton […] ah ben les gosses ça coutes cher pa’ […] je sais, je suis une très bonne négociatrice […] ok, prend soin d’toi, je t’aime aussi. » Mon père, c’était clairement l’homme de ma vie, la prunelle de mes yeux, mes piliers fondateurs, enfin bref, je n’avais toujours eu que lui. Je m’étais donc toujours mis pour but de trouver un homme au moins aussi respectable et loyale que mon père, j’avais bien sûr compris que la tache serais dure et lorsque j’avais rencontré Mylan qu’il fallait à tous pris que j’évite de tomber amoureuse avant qu’il ne soit venue à mon encontre car cela représentais aussi beaucoup de souffrance en sommes. De lui, je tenais bien plus que mon joli minois et mon franc parler, la négociation s’était tout un art de famille et dans le cas présent j’en avais fais bon usage… En échange d’un shopping de folie, j’offrais a mon plus grand mécontentement le devoir d’aller à ce foutu trucs de charité pour les gosses ou je ne sais trop quoi là. Bref, ici s’était carrément l’événement far, les gens s’y rendaient avec un engouement presque inhabituelle, de toute façon, y’en a qu’on besoin de ce genre de trucs ennuyant comme pas possible pour s’éclater, on peu pas trop leurs en vouloir. Moi, ce que j’appréciai encore moins, c’est d’y retrouver la ville, les habitants quoi, c'est-à-dire beaucoup de gens que vous n’aimez pas.

Alors, j'y étais allé, j'avais constaté avec désastre que je me retrouvais avec Mylan et par-dessus-tout oui parce que les malheurs n'arrivent jamais seuls.. Edwige. Bon, par chance la balance s'équilibrer parfaitement lorsque Jaxhuem et Katniss s'étaient vus ajoutés à la liste de mes compagnons. J'avais promis et si ma promesse n'avait pas été faite à mon père je l'aurais probablement rompu sans aucun scrupule.

Dix heures précises, je me tenais devant le bar, à peine réveiller tandis que je rabaissais ma jupe blanche en jean légèrement. Je posais ma tête sur l'épaule de Jax, manquant presque de m'endormir tandis qu'aligné tel des soldats nous attendions le dernier Mylan ; ça ne m'étonnais presque pas, il avait toujours aimé se faire désirer. . MYLAN - « Je sais ce que tu es en train de te dire, mais c’est pas du tout ce que tu crois » je relevais la tête, le regard déséspéré, dans mon regard on aurais certainement pu lire « mais qu'est ce qui t'arrive toi ? » MYLAN - « Je … Je vais tout t’expliquer On m’a enlevé » je levais les yeux aux ciels reposant ma tête sur l’épaule de Jax. « Je marchais, tu sais dans le parc et j’ai vu une soucoupe volante immense et … verte. Je les ai vu, les extraterrestres. Ils étaient là. Ils existent ! Ils m’ont emmenés avec eux et m’on fait subir des expériences horribles et d’ailleurs, même que je me suis défendu mais forcément ils étaient des dizaines alors tu penses bien que … Ca va, ça va, t’as gagné » je fermais les yeux, ne prêtant pas attention à un seul de ces mots, parce-qu’a vraie dire j’avais constater dès son arrivée que ça ne serais que bobard en tout genre, ben ouais, sa tête lorsqu’il mentait vous savez… je l’avais tellement vu que jamais il ne pourrait plus me tromper. Je ne mis pas bien longtemps à comprendre ce qui avait pu se passer dans sa vie, ses yeux croisèrent alors les miens, mon raisonnement se stoppait nette, la conclusion ? nous la connaissions tous. MYLAN -« J’avoue. Je suis en retard » il fis une moue, je détournais mon regard du sien « bon maintenant qu’on est tous là, ça serais cool d’y aller. On règle ça vite fais. » enthousiaste ? non, pas pour un brun, je n’avais pas assez dormis et dès mon réveil j’avais assister a l’une des plus pathétique performances de mon ex, j’adressais un regard à Kat qui devais certainement se sentir aussi mal que moi. je lui souriais légèrement en guise de compassion.